Formation coaching d'écrivain

Serez-vous le prochain bestseller ?
La grande difficulté des écrivains n’est plus d’être publiés mais d’être lus et appréciés.
"Un livre sur quatre part au pilon, soit 142 millions de livres par an."
Des solutions existent ! La première commence par la formation des écrivains.
Surproduction éditoriale
Les livres neufs invendus augmentent : 1 livre sur 4 sera détruit avant même d'être lu.
Ecrire est un métier !
Produisons ensemble des livres utiles et magnifiques.
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Votre succès sera aussi le nôtre !

Conjuguons nos talents

 ♦ Nous recherchons 10 auteurs sérieux et motivés pour se former, désirant être édités par un éditeur ayant pignon sur rue.
L’esprit livre propose une  formation complète : coach d’écriture, ateliers d’écriture, formation d’écrivain, cours blog WordPress, aide à la recherche d’éditeurs. 

« Nous souhaitons valoriser notre savoir-faire auprès des acteurs influents de l’édition. Nos domaines d’expertise sont les suivants : roman, roman feuilleton, recueil de nouvelles, autobiographie, biographie, guide pratique, carnets de voyage, correction éditoriale.»

A partir de 165 € par mois soit 5,50 € par jour. Durée de la formation selon le projet et le savoir-faire de l’auteur. Seulement 10 places

Comment s'inscrire ?

Cliquez  sur le bouton ci-dessus pour préparer votre inscription en ligne. Vous serez redirigé vers l’offre de coaching de 24 séances à raison d’une séance par mois. La durée et la fréquence pourront être modifiées lors de l’entretien téléphonique et suite à l’avis de notre équipe pédagogique.
Renseignez tous les champs afin de nous fournir un dossier complet. Les informations que vous nous communiquez seront examinées avec soin.
Un entretien téléphonique nous permettra d’approfondir votre projet et vos motivations. Il vous sera aussi demandé de nous adresser 2 à 3 feuillets d’un de vos derniers textes à cette adresse : contact@esprit-livre.com

Dans l’hypothèse où votre demande d’inscription est acceptée, un autre rendez-vous téléphonique permettra de valider votre dossier d’inscription. Seule la signature d’un contrat de formation vous donnera accès à ce coaching d’écrivain. Merci de rester joignable.
Proposez-nous le cas échéant un rendez-vous téléphonique sur cette page :  https://www.esprit-livre.com/demande-rendez-vous-formation.html

Information et inscription par téléphone
aux heures de bureau (heure de Paris)
au 05 49 44 27 69 (+ 33)
ou 06 63 72 35 41 (+ 33)

Attention : une demande d’inscription n’est pas une réservation.
En cas de silence de votre part durant 7 jours consécutifs, votre candidature serait rejetée.

En quoi consiste cette formation et ce coaching ? 

L’aide à la conception et à l’écriture

Choix de votre sujet ou refonte de manuscrit - Stratégie de développement de vos récits ou de votre propos - Positionnement dans l’offre éditoriale - Adéquation entre l’auteur et son projet - Evaluation des besoins de formation - Elaboration concertée d’une feuille de route

Se former au métier d'écrivain à distance

Un espace d’entraînement

Recevez des avis de lecteurs avisés et impliqués - Développez un regard critique sur vos textes - Interagissez avec les autres auteurs en formation - Parcourez le chemin qui conduit du conseil à sa mise en œuvre - Testez les suggestions reçues dans un espace sécurisé - Apprenez à écrire par jets successifs, du 1er jet aux corrections éditoriales

L’accompagnement personnalisé

Séance de coaching individuelle en visioconférence - Enregistrement des séances : consultation privée à volonté - Une adaptation des contenus de formation au stagiaire - Collaboration avec un formateur attitré pour un meilleur suivi Evaluation permanente des textes et des progrès

La formation

Validez vos idées en vous confrontant à un professionnel - Assimilez les savoir-faire au fil de la réalisation de votre livre - Perfectionnez-vous en narratologie, stylistique et en correction éditoriale Stimulations à l’inventivité : suggestions, lectures - Apprenez à écrire productif et organisé - Un encadrement attentif : des réponses dans les 24 h

Adaptation au secteur de l’édition

- Formation au blogging : cours et - webinaires mensuels - Mise à disposition d’un blog WordPress prêt à l’emploi Marketing éditorial : médias sociaux, référencement sémantique - Développement d’une culture éditoriale actuelle

La recherche de débouchés

Délivrance d’un guide actualisé des éditeurs en quête d’un premier roman, nouvelles, contes ou guide pratique - Aide à la rédaction de la lettre de présentation, du résumé et du synopsis - Suggestions dans la recherche d’éditeurs

F.A.Q

Nous devons nous assurer que : 

– Vous avez une réelle vocation
– Votre projet éditorial tient la route


Etre convaincu que :

– Vous êtes prêt à travailler et à vous investir

– Vous mettrez en œuvre les conseils

– Vous respecterez le planning de la formation

– Vous vous engagez à utiliser les outils de communications mis à votre disposition ( atelier d’écriture en ligne, blog, participation aux webinaires)

– Vous serez fiable : présents aux rendez-vous téléphoniques, aux séances de formation en visioconférence.

 

L’équipe pédagogique de L’esprit livre examine votre candidature à la formation et vous informe de la viabilité de votre projet. Dans l’hypothèse d’une réponse positive, la responsable pédagogique valide votre inscription et vous informe par téléphone de la réponse.

L’inscription se réalise en ligne. Vous pouvez la commencer seul sur cette page : https://catalogue.esprit-livre.com/formation/tutorat-ecrivain-24-sequences-24-mois/

ou être guidé par téléphone pour lire votre contrat de formation. Contactez-nous du lundi au vendredi, 8h-12h – 14-h-19h

Dans tous les cas, nous examinons les informations fournies sur votre parcours, vos acquis et vos atouts pour réussir. Afin d’appuyer votre candidature, veuillez nous adresser quelques pages d’un de vos textes à cette adresse : contact@esprit-livre.com

Si l’examen est favorable, L’esprit livre fixe avec vous un rendez-vous téléphonique pour finaliser votre inscription.  Un contrat de formation professionnelle est signé.  Votre Plan Individuel de Formation décrit votre parcours ainsi que les différentes activités de votre formation, ainsi que leur durée respectives, conseillées pour suivre dans de bonnes conditions votre formation.

♦ Un accompagnement personnalisé réalisé par un écrivain professionnel.

♦ Un ensemble formatif stimulant : un atelier d’écriture en ligne, des correcteurs professionnels et des lecteurs critiques, des supports techniques, des cours, des méthodes d’écriture, un réseau social d’écrivains, un blog personnel, une formation sur le blogging, des webinaires, et des séances de formation individuelles avec son formateur.

♦ Une guidance dans la recherche de débouchés.

Vous avez accès à notre plateforme d’e-learning et à un ensemble de cours afin d’acquérir les compétences professionnelles attendues dans le métier d’écrivain (voir fiche ROME E1102) : méthodologie personnelle, rhétorique, stylistique, composition de textes, narratologie, corrections éditoriales.

Vous pouvez interagir avec l’ensemble de nos stagiaires dans un atelier d’écriture privé en ligne : vous pouvez tester des passages de vos textes auprès d’auteurs en formation.

En échange, vous êtes sollicité pour lire des extraits et rédiger des fiches de lecture critiques, afin de consolider vos savoir-faire. Vous êtes lu et encouragé.

Nous vous offrons votre blog d’écrivain WordPress prêt à l’emploi. Vous avez tous les outils pour créer et développer votre lectorat. Vous pourrez le conserver après votre formation.

Plus encore, vous suivez une formation au blogging au rythme d’un cours mensuel accompagné d’un webinaire (visioconférence de groupe). Cette formation d’une valeur de 732 € vous est offerte, ainsi que votre blog WordPress paramétré et votre hébergement durant un. Le blog est encore le meilleur moyen d’être visible sur le net, de tester vos textes auprès de lecteurs en dehors de l’atelier d’écriture.

Vous évoluez dans un espace de formation qui recrée de manière sécurisée les conditions d’exercice actuelles du métier d’écrivain

La séance de coaching se déroule sous la forme d’un cours privé par Skype. La séance est enregistrée. Vous pourrez la revoir autant de fois que vous le désirez pour ne rien perdre des conseils et des suggestions.

48 h avant chaque rendez-vous, vous postez sur le site d’e-learning un texte de 22 000 signes espaces compris.

« Le coaching est l’accompagnement d’une personne à partir de ses besoins professionnels pour le développement de son potentiel et de ses savoir-faire. » Définition de la société française de coaching.

Le coaching est utilisé afin de favoriser des savoir-être : adopter un comportement à un contexte, une attitude d’esprit permettant de résoudre des difficultés, prises de conscience… Celui-ci ne comprend généralement pas de cours, pas de programme de formation.

A l’opposé de cet accompagnement individuel et personnalisé, les formations proposent généralement un parcours jalonné, identique pour tous, comprenant des cours théoriques, des exercices pour appliquer un ensemble de règles, une évaluation de ces règles.

Ces pédagogies ont chacune leurs limites : elles sont inapplicables en l’état pour des formations intellectuelles et créatives.

Une formation d’écrivain a pour but que vous trouviez en vous cette voix singulière qui est la source de votre style. Cette forme de coaching est d’abord orientée vers le créateur avant d’analyser les possibles débouchés économiques.

Chaque œuvre contient en elle ses règles de construction et d’élaboration qui pourraient devenir à leur tour un manuel d’écriture. « La théorie n’est pas autre chose que la pratique réduite en règles par l’expérience, et la pratique est de la théorie appliquée. » Constant.

L’esprit livre propose une pédagogie qui lui est propre, le mélange de ces deux formules: une approches individualisée, la prescription de cours et d’exercices en fonction des besoins et en fonction d’une grille de compétences à établir, fixée dans la fiche ROME E1102 du métier d’écrivain. Dans leur accompagnement, les formateurs tiennent compte de la manière de penser du destinataire et de son profil d’apprentissage.

Le programme étant personnalisable, les thématiques de cours sont données à titre indicatif

La rédaction d’un roman (autobiographie ou de fiction)

  • Aptitude à s’exprimer à l’écrit avec aisance
  • Concevoir un projet éditorial et définir de bons sujets
  • Maîtriser la méthode du séquencier et la scénarisation des récits
  • La création de personnages vivants et attachants (caractérisation)
  • Rédiger en utilisant les 6 modes de l’écriture narrative
  • Elaborer des stratégies narratives afin de créer du suspense, de la curiosité et de l’étonnement
  • Maîtriser les bases de la stylistique : la clarté, la concision, le relief, la fluidité, l’originalité
  • Le marketing éditorial : le titre, la quatrième de couverture, le résumé, le synopsis, la note d’intention, le blogging, le référencement et les interactions avec les médias sociaux

Rédaction d’un recueil de nouvelles

  • Les invariants de la nouvelle
  • Une grande diversité de formes
  • L’esthétisme de la nouvelle
  • Les formes narratives brèves et frappantes
  • La conception d’un recueil 
  • La recherche de ses sujets
  • L’entraînement à la brièveté
  • La recherche d’effets pour impressionner son lecteur

Rédaction d’un guide pratique

  • Définition des compétences acquises : l’analyse de la pratique rédactionnelle
  • Analyse des besoins de la cible du guide et mise en perspective
  • Les modalités de transmission des savoir-faire
  • Apprentissage de structuration de guides pratiques : le rubriquage, le ton, la mise en page
  • Les méthodes des meilleurs éditeurs : First la collection « pour les Nuls », Eyrolles, Dunod
  • Les bases de l’écriture didactique 

Une formation sur le blogging (commune à tous nos stagiaires)

– Le blog de l’écrivain : votre guide de démarrage

– La conception de votre blog : votre identité, votre contenu

–  Comment écrire de bons articles de blog et des titres accrocheurs 

– L’écriture web : la structuration, les mots clés et le référencement naturel et sémantique

– Se démarquer : la veille internet, trouver des idées 

–  L’organisation et la planification de vos billets 

Créer une audience et valoriser ses contenus sur les médias sociaux 

–  Fidéliser ses lecteurs : le formulaire d’inscription et l’usage d’un autorépondeur

–  La newsletter et relance de ses abonnés 

–  Etude de cas : critique et supervision des blogs de stagiaires 

–  Susciter la fascination de vos lecteurs 

–  Culture de blog : panorama des réussites des stagiaires et des écrivains célèbres

Un écrivain formateur attitré :

  • Analyse votre texte, dresse la liste de vos réussites et des améliorations à apporter qu’il vous présentera de vive voix lors de la séance de coaching. Ce premier lecteur professionnel vous fait part de ses expériences de lecture de votre texte.
  • Évalue vos besoins de formation et choisit les supports appropriés afin d’en faciliter l’assimilation.
  • Explique le bien-fondé des corrections et répond à toutes vos questions.
  • Aide à la réflexion en vous présentant les différents enjeux liés aux choix que vous envisagez, ou aiguise votre sens critique afin que vous deveniez autonome dans vos appréciations et trouviez votre style.
  • Vous guide dans vos apprentissages. Il vous rend lucide sur la valeur de votre texte. Il vous stimule afin que l’écrit devienne une pratique régulière et contribue à délier vos idées.

Attention : le formateur n’écrit pas à votre place. Il ne réécrira aucun passage de votre texte même à titre d’exemple. Vous conservez entièrement vos prérogatives d’auteur.

Tous les formateurs de L’esprit livre sont à la fois des écrivains professionnels et des formateurs. Ils ont plus de 20 ans de métier. Ils se nomment : Jocelyne Barbas, Chrystèle Guene, Olivier Magnan, Alain Roels.

17,5  h par séquence de formation, qui comprend :

  • Lecture des cours, tutoriaux, manuels : 2 h
  • L’écriture de votre texte de 22000 signes espaces compris, c’est-à-dire 10 feuillets d’édition ou encore 9 à 10 pages A4  = 10 h
  • Séance de coaching avec le formateur : 1 h
  • Mise en application des conseils : 5 h
  • Rédaction d’avis sur les textes des autres stagiaires : 5 h
  • Webinaire : 2 h

Les durées indiquées constituent un minimum pour suivre la formation dans de bonnes conditions, soit une heure par jour. 

Le blog étant un espace personnel de publication, l’écriture des billets n’est pas décomptée dans le temps de la formation. Cependant, il est fortement conseillé de publier des extraits de textes afin de se faire connaître.

Etre actif, assidu et garder l’esprit ouvert.

S’entraîner idéalement une heure par jour.

Questionnez votre formateur, il répondra à vos questions par e-mail.

S’il n’a pas la réponse, vous pourrez consulter la responsable pédagogique par mail et par téléphone afin de trouver des solutions aux difficultés rencontrées.

Un coaching suppose d’accepter la critique et la pédagogie active de L’esprit livre : la formation est réalisée à partir des textes et donc de l’activité du stagiaire. Pour ces raisons, elle ne convient pas à tout le monde.

Bien que les outils informatiques soient facile d’accès, il existe des prérequis : savoir se servir d’un ordinateur, d’un navigateur, et suivre des instructions simples.

Afin d’éviter les ambiguïtés : être édité signifie deux choses : l’auteur a  signé un contrat à compte d’éditeur et son  livre est vendu en librairies.

 

♦ Adrienne Dhelvallée, Les saisons intermédiaires, Ed. Les impliqués Editeur
« Avecmes remerciements à Alain Roels, L’esprit livre, pour ses judicieux conseils et sa bienveillante disponibilité. »

 

♦ Gérald Vausort, sous le speudo GF Spencer, Le monde selon Mari, Editions R.O.D.

 

Valentin Husser, Savoir devenir, Libérez-vous du piège de L’échec, guide pratique, sciences-humaines, Ed. Sydney Laurent – mai 2018

« Je tiens à remercier Jocelyne Barbas et Alain Roels de L‘esprit livre. Sans leur guidance, je me serais sans doute fait « piéger par l’échec », tellement le travail nécessaire pour produire un tel ouvrage est exigeant. »

 

Lydia Gaillet, En sursis, roman, Edition L’harmattan, avril 2017

« Ce n’est qu’en partant d’un texte personnel que j’ai pu découvrir mes erreurs. Le coaching me permet de comprendre comment je dois m’y prendre pour apporter plus de clarté et de précision, pour construire un écrit en appliquant une méthode faisant appel à l’esprit de synthèse.

J’apprécie que l’apprentissage soit adapté à mes points faibles et qu’il réponde spécifiquement aux questions que je me pose. »

 

Françoise Moreau Baudin, Mortelle guérison, Ed. Dédicaces, novembre 2016

« Merci Jocelyne de savoir si bien prodiguer ton savoir-faire »

« Je cherchais une formation au plus près de chez moi. Je suis d’abord tombée sur des formations proposées par le Canada, elles étaient intéressantes, mais trop loin. Je suis tombée sur le site de l’Aimant Littéraire (ancien site de L’esprit livre). J’en ai étudié le fonctionnement. Ça collait exactement avec ce que je cherchais : près de chez moi, par internet, enseignement sérieux, petite entreprise en développement, dirigeants très ouverts au dialogue. »

 

Lydia Letaert, La prophétie Wicca, Ed. Dédicaces, mai 2016

« Merci à Prof de L’esprit livre, Fanfan, Pat, qui m’ont accompagnée tout au long de l’aventure à grand renfort de fous rires. »

« J’ai publié un premier roman comique avec une maison d’édition belge. Lorsque j’ai voulu écrire un deuxième livre, j’ai bien vu que j’avais de grosses lacunes que ce soit au niveau de la rédaction ou de l’intrigue.

J’ai commencé à regarder où je pourrais prendre des cours. Le problème c’est que j’ai des horaires de travail en dents de scie. Ce qui pose de sacrés problèmes lorsque l’on veut s’inscrire dans des formations classiques. D’où l’intérêt de L’esprit livre. Je pouvais travailler quand je voulais et lire les textes et commentaires des uns et des autres. Comme je suis très timide, Internet me convient parfaitement. »

 

♦ Nouchka Favez, « Quand on meurt, on va au ciel ? » Contes pour enfants de 9 à 99 ans. Ed. Mon village, novembre 2015 –  La vie de Chateau n’est plus ce qu’elle était ! Ed. Mon village, 2018

«  Les échanges avec les autres nouvellistes sont très valorisants et pleins de sagesse. Quoi de plus intéressant que de savoir qu’on est lu et de recevoir un commentaire. Le forum aussi est un lien très appréciable et c’est enrichissant de connaître les aspirations et aussi les soucis de nos « co-nouvellistes ». »

 

♦ Hervé Belliot, Première Mission, Ed. Dédicace, septembre 2015

« Je souhaite tout d’abord remercier Jocelyne Barbas de L’esprit livre qui m’a accompagné tout au long de cette aventure. Elle m’a appris, entre autres, que savoir écrire ne suffisait pas pour être écrivain. Sans ses conseils et sa méthode, ce livre n’aurait probablement pas vu le jour avant longtemps. »

 

♦ Dominique BeckEquation à un inconnu, Ed. L’esprit livre, 2014

« j’ai suivi le cursus de formation de juillet 2008 à 2009 (et durant près de 7 ans un coaching collectif). J’emploie à dessein le terme de cursus, car il s’agit bien d’un véritable parcours d’apprentissage, autrement dit on n’en sort pas dans le même état qu’on y était entré. j’y ai beaucoup appris et découvert des aspects de l’écriture que je n’avais jamais soupçonnés. Les documents de la formation sont une mine et je les utilise encore quand je cherche des références bibliographiques sur tel ou tel sujet.

Alors, si vous avez envie de tenter l’aventure et que vous hésitez, n’hésitez plus ! »

A paraître en 2019, Tension dans le béton, recueil de nouvelles, Ed. L’esprit livre

 

♦ Gaël Montade, Des Idiots presque parfaits, recueil de nouvelles, Edition La rue Nantaise, juin 2010

« Je tiens à te remercier pour tous tes encouragements. Je me souviens encore des tremblements après avoir posté ma première historiette sur le site de l’aimant littéraire (plateforme d’e-learning qui a précédé L’esprit livre) en janvier 2008, puis l’assurance croissante dans le développement d’intrigues et la maîtrise du rythme que m’ont permis tes retours et même si je n’arrive pas à croire qu’une centaine de bouquins à mon nom va sortir, je suis certain que deux ans plus tôt je n’y aurais jamais pensé. »

Gaël Montade

D’autres auteurs attendent des réponses de différents comités de lecture

ARABESQUES

Roman

Une phrase énigmatique à suivre pour partager l’amour des livres et de l’écriture : « Seuls les gens sans vision s’échappent dans le réel.« 

« Un personnage de roman, c’est n’importe qui dans la rue qui va jusqu’au  bout de lui-même.» Georges Simenon

« La vie n’est pas ce que l’on a vécu, mais ce dont on se souvient et comment on s’en souvient»  Gabriel Garcia Marquez

A Ayeeyo, ma grand-mère
A toutes les grands-mères du monde
A toutes celles et ceux qu’elles ont élevés

 

« Je vivais à l’époque à New York, la ville de tous les possibles. J’étais une femme au foyer. Et je n’étais pas heureuse. Pour noyer mon chagrin, je m’abreuvais des films de Woody Allen. Il me chuchotait souvent : « Pour être heureuse ma puce, seuls deux choses comptent dans la vie, le métier que l’on choisit et le sexe, rien d’autre ». Je n’avais ni l’un, ni l’autre. Être une femme au foyer n’est pas un métier en soi. Le sexe, dans ma vie, se résumait à un soupir et un frisson. Le soupir, au début pour chasser une question qui s’invitait toujours dans mon esprit à ce moment précis : « Comment font les autres pour se monter dessus et trouver du plaisir après dix années de mariage ? ». Et le frisson, si possible, parfois vers la fin du frotti-frotti.

J’avais même, durant cette période de ma vie, déprimé. Pourquoi ai-je déprimé ? Pour oublier. Oublier quoi ? Oublier que j’avais honte. Honte de quoi ? Honte de vivre l’échec dans toute sa splendeur. Honte de vivre à New York sans will power. Mais tout dépend de ce que l’on entend par ce mot. J’estimais, pour ma part, que choisir l’inertie à l’action et s’extasier devant sa propre dégradation, c’était avoir le will power dostoïevskien. Ma vie étant ce qu’elle était, l’action me paraissait inutile, voire franchement inutile. Je voulais juste qu’on me laisse tranquille avec ma doucereuse extase. Je disais à tout le monde : « Je suis en train d’écrire mes propres notes du sous-sol inspirées de celles de Dostoïevski. ». Et bien sûr en refermant la porte du sous-sol derrière moi, je sombrais. Car dans ces moment-là.

 

On n’écrit pas, Madame.
On n’écrit pas.
On ne fait rien de ses dix doigts.
On ne dit rien ou bien n’importe quoi.
Faut vous dire Madame.
Que dans ces moment-là.
On ne pense pas, Madame.
On ne pense pas, on divague. 
Et puis il y a des jours, où sous la pluie de nos soucis
On est raide comme une saillie.
Il y a des jours, où la douleur de notre déprime devient notre seule amie. 
Et ça fait des grands sniff. 
Et ça fait des grands sniff.
Et puis, et puis arrive un jour, où l’on finit par se lasser de notre chère amie. 
On n’en peut plus d’elle tellement qu’elle pue. 
Un de ces jours-ci, on la fuit 
si on n’est pas déjà complètement cuit. 
Faut pas jouer avec la déprime, 
quand on aime la vie.
Faut vous dire Messieurs, qu’avec celle-ci, 
on ne vit pas, Messieurs. 
On ne vit pas. 
On se tue.

 

C’est peut-être ce que l’on cherche dans la vie, rien que cela le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir, me disait Louis Ferdinand Céline. Mais moi je ne voulais pas mourir. Je ne cherchais pas un grand chagrin pour devenir moi-même non plus. J’observais le monde à travers de longues siestes. En me réveillant de ces siestes, je me disais qu’il était rongé de l’intérieur par un mal inconnu et qu’il souffrait d’une affection chronique. J’ai fini par comprendre que c’était moi qui souffrais d’une dépression chronique. J’ai avalé malgré moi, les happy pill que me prescrivait mon docteur pour ne plus être une effacée déplacée. Elles étaient censées donner à mon cerveau des substances chimiques dont il raffolait. Après, j’ai laissé le monde tranquille. J’ai commencé à mener la grande vie. Tout dans ma vie était devenu simple, sérotonimement, sans doute, tout ce qui était si compliqué auparavant… Tout s’était transformé et mon sourire sérotoniné séduisait même les new yorkais. On me demandait partout: « Where do you get that smile from? ». Je répondais d’une voix veloutée : « From Sérotonine City » en continuant mon chemin. Où d’autre qu’à New York cherche-t-on l’origine d’un sourire ? C’était comme si les happy pills avaient soulevé soudainement le couvercle d’une cocotte en fonte posée sur ma tête à mon insu. J’avais l’impression qu’un courant d’air frais arrivait dans mon cerveau, soufflait sur mes doutes et me libérait de mon épuisante habitude d’angoisser.

Voilà tout pour cette période de ma vie. J’aurais pu m’y attarder plus mais à quoi cela vous servirait-il de vous étaler tous les détails ? Heureusement pour rompre la monotonie de ces journées, je rigolais avec mon fils, j’écoutais Brel, je regardais les films de Woody Allen et je lisais. Lorsque j’ai compris plus tard, grâce à Céline, que nous sommes par nature si futiles que seules les distractions peuvent nous empêcher vraiment de mourir ; je m’étais accrochée à la lecture avec une ferveur désespérée. Ma lecture effrénée avait donc débuté avec le voyage au bout de la nuit. Elle m’a permis aussi de remplacer lentement, doucement mais longuement la dose de sérotonine par une dose de littérature : des phrases suspendues dans l’air que j’aimais lire et relire. Je les avais d’abord recopiées à la main dans de petits cahiers d’écoliers pendant plusieurs années. Je voulais que ça soit beau. Je mettais des heures et des heures à les transcrire. C’était presque de la calligraphie. En me regardant déchirer tout une page à cause d’une petite rature puis recopier les mêmes phrases, mon fils secouait souvent la tête en se disant tout bas : « Elle devient vraiment maboul ». Il ne savait pourquoi je les chérissais à ce point. Il ne savait pas ce qu’elles représentaient pour moi. Elles étaient la musique qui faisait danser ma vie. Elles me permettaient de ne plus être l’idiote parfaite que j’étais ; de me regarder, de m’écouter et me questionner.

Vers la fin de cette cure qui avait duré un an, ou alors j’oubli, j’étais tombée une nuit sur une phrase qui m’avait laissée bouche bée toute ouïe. J’avais lu toutes les autres phrases, sauf celle-ci. Je vous raconterai plus tard où et comment je l’ai entendue. Je me suis rendue compte cette nuit, à quel point certaines phrases avaient tracé la trajectoire de ma vie. Le lendemain, j’ai commencé à écrire le livre que vous êtes en train de lire. En quelques mois, j’avais fini le premier jet. Il n’avait rien à avoir avec l’histoire autour de laquelle je tournais en rond depuis six ans ; mais c’était le genre de livre que j’adorais lire et dévorais d’habitude avant même de quitter les librairies. Je les achetais quand même en sortant, sauf lorsque j’étais complètement fauchée. Je ne vous dis pas ceci pour vous inciter à acheter le mien. Surtout si vous êtes un broke voracious reader comme je l’étais à cette période de ma vie. Je sais que pour vous, la meilleure manière de lire un livre, c’est assis adossé à un mur d’une librairie ou debout avec un coude posé sur l’une de ses étagères. Been there, done that. Je serais surtout ravie si vous arriviez à oublier, grâce à moi, pendant un petit moment l’espace, le temps et le fait que vous n’avez pas assez de tunes pour acheter tous les livres dont vous rêvez.

Voici la phrase que j’avais entendue cette nuit-là : « Seuls les gens sans vision s’échappent dans le réel. » Quelque chose s’ouvrait mystérieusement en moi. Comme une rose coquine et espiègle, je parlais enfin librement de moi.

Il était assez tard lorsque j’étais rentrée à la maison. J’avais lu d’une traite « Jacques le fataliste » de Diderot au lit et j’avais remercié Allah, d’être capable d’engloutir une telle portion d’un seul coup. Ensuite, j’ai commencé à discuter avec Diderot. 
Moi. – Ah si seulement je savais écrire comme je sais rêver ! Mais il était écrit là-haut que j’aurais les choses dans ma tête, et que les mots ne me viendraient pas.
Diderot. – Et pourquoi pas ?
Moi. – Pourquoi pas quoi ?
Diderot. – Pourquoi les mots ne te viendraient-ils pas ?
Moi- Parce que c’était écrit là-haut que j’aurais les choses dans ma tête.
Diderot.- Penses-tu que le moment de sortir les choses de ta tête viendra un jour ?
Moi.- Qui le sait ?
Diderot.- A tout hasard, commence toujours…

Pour lutter contre mon spleen, j’avais, pendant longtemps, griffonné un mot, une phrase ou un paragraphe sur des moleskines. J’avais cherché une voix, imaginaire ou réelle qui me permettrait enfin de me débarrasser des histoires coincées dans ma tête. A la fin de cette nuit blanche, je regardais les premiers filets des rayons de soleil entrer par ma fenêtre. Ils m’irradiaient d’un immense désir d’écrire. Je sentais enfin cette voix qui commençait vers l’arrière de mon genou et me montait jusqu’au bout de la tête. Je me disais : « A tout hasard commence toujours par essayer de comprendre cette mystérieuse phrase, seuls les gens sans vision s’échappent dans le réel ».

***

Il faut d’abord que je vous dise comment j’ai rencontré cette fameuse phrase. J’étais allée écouter Marie Darrieussecq parler de son dernier livre,  » Il faut beaucoup aimer les hommes » à la maison française de l’Université de New York. C’était la première fois que j’allais à cette université. Je vivais dans une petite ville de la banlieue new yorkaise appelée New Rochelle. J’avais souvent voulu assister aux rencontres d’écrivains à Manhattan mais je n’y arrivais jamais parce que j’oubliais à chaque fois de prendre en compte tous les imprévus qui surgissaient dans ma routine de femme au foyer ; particulièrement le jour où je décidais d’y inclure un événement culturel qui me plaisait vraiment. C’était comme si cette routine était un corps vivant qui développait une sérieuse allergie, et expulsait violemment, toute chose autre que cette réalité Tupperware : sortir la viande du soir du congélateur, préparer le petit déjeuner, déposer mon mari à la gare de New Rochelle pour le commutage à Manhattan pendant que le gosse dormait encore ; préparer le second petit déjeuner pour le gosse, l’aider à manger, le conduire à l’école, débarrasser, laver, ranger, courir à deux heures pour ramener le gosse, précuire une partie du dîner, aider le gosse à faire ses devoirs, le déposer par çi et par là pour toutes les activités extra-scolaire, courir pour ramener mon mari à la maison, finaliser le diner, ramener le gosse aussi, mettre la table, manger en famille, laver, ranger, s’écrouler au lit, soupirer, si possible frissonner.

L’imprévu de ce jour-ci, c’était le môme qui avait choisi de vomir trois fois dans sa classe. J’aurais pu attendre le lendemain pour l’amener chez son médecin, mais j’étais, comme toutes les autres femmes au foyer de mon entourage de cette riche région du Weschester, une névrosée. Comment je sais qu’elles étaient toutes des névrosées comme moi ? Well, parce que c’est elles qui m’avaient filé leurs angoisses. Je n’étais pas une angoissée avant de venir vivre dans cette région. J’ai fini par le devenir à cause de ce dicton en somali, ma langue maternelle : « Meel la wada il laayaahay haddaad aadid, il baa la is jaraa » ; quand tu arrives à un pays où tout le monde est borgne, il faut se crever un œil et pas n’importe lequel, celui de la majorité. Le jour où j’ai adopté sans m’en rendre leur tic de la lèvre inférieure tordue, j’ai reçu en cadeau, par l’une des mamans de la salle, un sourire crispé.

Nous étions à la salle d’attente du docteur Zidani, le pédiatre des enfants de toutes les mères au foyer angoissées du coin. Au début j’y allais une fois par trimestre. J’ai fini par y aller aussi les lendemains des nuits blanches passées à surfer sur les sites internet, où l’on venait toutes nous gaver d’angoisse en lisant la liste des sérieuses causes se cachant derrière n’importe lequel des petits bobos de nos mômes. Disons que c’était toutes les deux semaines. J’allais chez le docteur Zidani cette après-midi-là, pour calmer mon angoisse. Il a fini par me dire, comme toujours : « C’est un virus, ça passera après quelques jours ». Il était six heure et quart lorsqu’on était arrivé à la maison. La conférence commençait à sept heures à Manhattan. Le train de banlieue que je voulais prendre était déjà parti depuis belle lurette. Le prochain train quittait New Rochelle à 18h33 et arrivait à Grand Central à 19h05. Ensuite, il fallait prendre le métro de Grand Central jusqu’à Downtown pour je ne sais combien de temps et enfin marcher de l’arrêt du métro, jusqu’au New York University, un trajet que ne je n’avais jamais fait. Je serais arrivée à la salle au plus tôt à 20h00. En ouvrant la porte, je me disais tout bas : « C’est fichu, encore une fois » mais au lieu de laisser tomber comme d’habitude, j’ai dit à mon fils : « Va faire pipi, on part à Manhattan ». J’ai jeté dans mon sac une banane et une bouteille d’eau et je suis ressortie. « What ? You are driving to Manhattan ! » Avait-il hurlé en me trouvant en train de l’attendre au volant de la voiture. Je me suis retournée vers son siège pour lui donner la banane et la bouteille d’eau, je lui ai demandé de s’attacher et de rester tranquille parce que j’avais besoin de me concentrer sur la route. Puis, j’ai foncé. »

Choukri Osman

Personne ne peut vous garantir que vous serez publié. 

Personne ne vous donnera le talent ni ne peut provoquer le succès au moment où vous le souhaitez.

Par contre, nous pouvons vous garantir que nous mettrons tout en œuvre pour vous former.

Nous nous engageons à dispenser la formation telle que nous vous l’avons présentée. Dans l’hypothèse où elle ne serait pas réalisée, vous bénéficiez d’une garantie contractuelle de remboursement du double du prix.

Nos formations répondent aux critères qualités imposées par la réglementation française. L’esprit livre est inscrit au répertoire  » Datadock ». 
Nos formations peuvent être financées dans le cadre de la formation professionnelle continue sous réserve d’avoir acquis des droits et de valider votre dossier de prise en charge financière avec l’OPCO, votre entreprise… Compte-tenu du nombre d’heures de cette formation, il n’est pas possible d’utiliser le dispositif CPF.

 

6 préjugués coriaces

Savez-vous que le grand Victor Hugo a appris ses conjugaisons ? Il a fait “ses humanités “ : c’était une formation d’écrivain.

Il s’agit de la « formation de l’esprit par les lettres, fondée sur la conviction que l’on devient soi-même et que l’on s’arme pour la vie par une confrontation avec les grands textes du passé, et par une confrontation personnelle, en les lisant, en les traduisant, en les comprenant, en les commentant, en les imitant par soi-même, c’est ce qu’on appelait naguère « faire ses humanités » ». (Source : M. Zink,Asmp.fr)

La notoriété d’un écrivain agit en France comme une gomme. Sous prétexte que l’on ignore le plus souvent la vie des écrivains et que l’on ne connaît pas d’école d’écrivains dans son quartier, il est facile de penser que cela n’existe pas.

Au 19 e siècle, Théophile Gautier enseignait l’art d’écrire dans des cercles et des salons… et bien plus tôt avant lui, « Les Romains avaient une coutume fort louable et très utile, tant qu’on sût en user : c’était de réciter les ouvrages de leur composition en présence d’amis, avant que de les donner au public. Elle avait deux fins : la première était de recevoir des avis et des corrections, dont les gens les plus habiles ont toujours besoin ; et la seconde, qui était la suite de la première, de ne publier rien qui ne fût accompli… »  Vilgneult-Marville 

Stephen King, Raymond Carver ont fréquenté des ateliers d’écriture… et tant d’autres.

Le contexte de l’économie du livre est le suivant : moins de 1 % des manuscrits envoyés par la poste sont publiés par les éditeurs en France. Même si l’auteur réussit à être publié, il n’est pas certain d’être lu et donc d’être payé.

« Chaque année en France, environ 100 millions d’ouvrages sont invendus et finissent en papier à recycler. »  (Source L’express : Voyage au bout du pilon).

« Un livre sur quatre part au pilon, soit 142 millions de livres par an. » (Source L’Obs : un livre sur quatre part au pilon).

Si ces statistiques sont alarmantes, elles s’expliquent très facilement. La plupart des écrivains boudent la formation. On ne peut pas s’improviser dans ce métier d’auteur. Un livre correctement écrit et apportant des satisfactions de lecture finit par trouver ses lecteurs si l’auteur se montre patient et persévérant. Un livre passionnant trouvera aussi son éditeur.

Si la concurrence entre auteur est rude et les places sont prises d’assaut, L’esprit livre a repéré pour vous des opportunités en réalisant cet ouvrage : Devenir écrivain professionnel, 150 débouchés.

Les éditeurs mentionnent maintenant sur leur site l’ouverture et la fermeture de leur comité de lecture… Pour certains il faut attendre un an voire deux ans. A nouveau, il faudra aller en repérage…

Les pratiques éditoriales évoluent elles aussi. Les éditeurs parisiens choisissent de plus en plus des auteurs auto édités qui réussissent. Ils réduisent ainsi leurs risques financiers. En mobilisant leur circuit de distribution, ils amplifient le succès d’un livre qui plaît déjà à des lecteurs… L’autoédition est donc une piste sérieuse à étudier avec soin pour ceux qui veulent tenter la Grande Aventure.

La connaissance d’œuvres littéraires majeures, de techniques, de méthodes, de stratégies d’auteurs stimule l’esprit : elle ne le formate pas, au contraire, elle le libère du carcan de l’inexpérience, du doute, de la vanité, de l’ignorance. Seul le savoir libère le talent. L’ignorance n’est qu’un leurre de ses aptitudes.  « Au pays des aveugles, les borgnes sont roi ».

La fraîcheur d’une expression écrite perçue par l’auteur n’a rien de commun avec l’impression de spontanéité ressentie par un lecteur. Un texte éditable répond à des nécessités de communication, d’intelligibilité, d’esthétisme. Il faut beaucoup travailler pour recréer cette spontanéité afin de la transmettre sans l’affadir avec des mots.

La créativité n’a jamais été une absence de règles. Ce n’est pas parce que la loi de la gravité existe que nous sommes empêchés de courir, de danser, de sauter à cloche-pied… C’est difficile de s’apprendre à soi-même et de remplacer un formateur. Une formation ne se limite pas à des conseils lus ou des avis professionnels : il faut écrire, expérimenter des outils, tester la perception de ses textes auprès de lecteurs variés.

La formation en autodidacte a ses limites : on ne sait pas quoi apprendre, ni comment. On ignore à quel niveau on réussit à mettre en œuvre ses compétences.

On ne peut grandir que dans le regard de l’autre. Personne ne se fait tout seul. Ce serait d’ailleurs assez risible.

« Mon modèle, c’est moi-même ! Je suis mon meilleur modèle parce que je connais mes erreurs, mes qualités, mes victoires et mes défaites. Si je passe mon temps à prendre un autre modèle comme modèle, comment veux-tu que ce modèle puisse modeler dans la bonne ligne ? » Jean-Claude Van Damme

A plusieurs on va toujours plus loin que seul !

La littérature n’est pas l’œuvre du nombrilisme. Ceux qui ne parviennent pas à s’ouvrir aux autres n’intéressent pas les lecteurs. Ecrire pour des lecteurs en développant ses sujets de manière littéraire, attractive… sont autant de compétences qui se développent.

« J’éprouve chaque fois le même mélange de fascination et de perplexité quand j’entends dire qu’on ne peut pas enseigner l’écriture. Franchement, je n’arrive pas à comprendre cette façon de voir. » Elisabeth George, Mes secrets d’écrivain.

« C’est assez singulier qu’aucun de nous ne sache sa grammaire et, pour être écrivain, ne veuille apprendre à écrire. » Jules Renard 

N’écoutez pas le discours des jaloux, des frustrés, des ratés qui regardent les professionnels de l’écriture avec envie et colère. La médisance ne produit que des renoncements et du mal-être. La mystification ne rend service à personne.

« On sait que le propre du génie est de fournir des idées aux crétins une vingtaine d’années plus tard. » Aragon

Prouvons ensemble le contraire. Le succès, cela n’arrive pas qu’aux autres !

Il faut aussi accepter de ne pas toucher le jackpot immédiatement. Tous les écrivains ont eu des livres de jeunesse… Certains parviennent dès le premier ouvrage à s’imposer et d’autres devront en écrire plusieurs avant d’y parvenir. La maturation et le professionnalisme d’un auteur dépendent aussi de son propre rythme.

Il faut accepter aussi que de jeunes éditeurs prennent plus de risques que des éditeurs installés. Certains créent leur notoriété avec un premier roman qui devient un bestseller. Un exemple : En attendant Bojangles est d’abord paru aux éditions Finitude. Avouez que ce n’est pas le premier nom d’éditeur qui vous est venu à l’esprit.

Le monde éditorial ne se limite pas à Gallimard, Grasset et le Seuil ! 😉

L’adage populaire dit « en avoir pour son argent ».

L’ombre de la gratuité affecte la culture et la création, ainsi que le libre accès au savoir sur Internet. C’est toujours trop cher lorsque l’on a décidé de ne rien payer…

Avant de dire que c’est trop cher, prenez le temps de comprendre à quoi correspond notre offre de formation et ce qu’elle va vous apporter.

Bon nombre de formations proposées sur Internet le sont par des personnes qui ne sont pas qualifiées pour être formateur. La formation est réglementée, pourtant… Alors dépenser moins cher pour une formation qui n’en est pas une !… Vous n’achetez pas un prix. Vous achetez les bénéfices que va vous apporter une formation, c’est donc un investissement et non une dépense.

Le coaching complet se compose de 24 séances. Chaque séance est facturée 155 €. Ce tarif est particulièrement bas. Le nombre de séances peut être réparti sur 12 ou 24 mois. Elles sont nécessaires pour aboutir à un résultat acceptable. Le rythme de 2 séances par mois reste conseillé. Cette fréquence renforce les apprentissages de manière optimale.

Il peut être réduit à 12 séances si vous avez déjà acquis un niveau qui permet d’aller plus vite dans la rédaction de votre livre.

Le tarif moyen dans la formation est de 12,80 € de l’heure et L’esprit livre devrait facturer 89,60 € par JOUR de formation ! Juste en appliquant les tarifs d’une concurrence ne proposant ni le même accompagnement, ni les outils, ni la formation que nous mettons à votre disposition.L’esprit livre ne demande que 6 % de ce budget pour vous permettre de bénéficier chaque jour d’un espace d’entraînement en ligne.

Si vous avez acquis des droits à la formation, nous vous aidons à monter votre dossier de financement : CIF, AIF, plan de formation de l’entreprise.

Enfin, sachez qu’il existe des mesures fiscales afin de déduire les frais de formation de vos impôts si l’ouvrage réalisé est en lien direct avec l’exercice de votre profession.

Pourquoi pratiquer des tarifs aussi bas ?

La formation à distance permet de réduire le nombre d’heures de présence des formateurs et de mutualiser bon nombre de ressources documentaires. Les tarifs couvrent juste nos frais de fonctionnement mais ils ont le mérite de rester accessibles auprès d’un grand nombre de particuliers.

Un organisme de formation ne vise pas une rentabilité maximale. L’esprit livre est d’abord une équipe de passionnés désireux de partager des savoir-faire et de valoriser des méthodes, des contenus de formation élaborés patiemment au fil des années auprès des acteurs influents du secteur de l’édition.

Nous désirons cumuler des réussites spectaculaires pour inciter les éditeurs à faire appel à nos services.

L’équipe éducative est donc particulièrement motivée et enthousiaste à l’idée de former des auteurs ayant un réel potentiel, conscient des enjeux liés à la formation des écrivains en France.

Votre succès sera aussi le nôtre.

L'esprit livre

Organisme de formation déclaré sous le numéro : 54860123986 (ne vaut pas agrément de l’Etat).
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